Choisir entre hausses
d'impôts ou coupes
sociales?
NON au DETTEC!

Choisir entre hausses d'impôts
ou coupes sociales?
NON au DETTEC!

Le paquet du DETTEC est conçu comme un château de cartes, avec un équilibre précaire. Si l'une des charges augmentent, tout s'effondre. Cet effondrement forcera les communes à choisir entre des coupes dans les prestations ou des hausses d'impôts.

Des déserts sans crèches?
NON au DETTEC!

À cause des charges supplémentaires imposées par le canton, les com- munes n'auront plus les moyens d'investir pour développer de nouvelles places de crèches. Comme le reconnaît le Conseil d'Etat lui-même, le DETTEC augmente le risque d'inégalité de traitement selon les com- munes. Concrètement, cela veut dire que certaines régions deviendront des déserts sans crèches.

Des EMS plus chers?
NON au DETTEC!

La nouvelle répartition financière conduira à rendre les EMS plus chers. Le Conseil d'Etat le reconnait aussi: la réforme conduirait à une diminu- tion des subventions publiques pour les EMS. Cette baisse devra être compensée par les résident-e-s et leurs familles.

Affaiblir les soins à
domicile?
NON au DETTEC!

Affaiblir les soins à domicile?
NON au DETTEC!

Avec le DETTEC, les communes choisiront quelles prestations d'aide à domicile seront remboursées. Concrètement, une personne âgée qui a besoin d'aide pour s'alimenter pourra être remboursée dans une commune et ne pas être remboursée dans la commune voisine.

Les communes fixeront les tarifs des infirmières indépendantes. Dans un contexte économique difficile, il est à craindre que les tarifs déjà très bas des infirmières indépendantes baissent encore. Il y aura également des tarifs différents selon les communes. Cela signifie une charge administrative supplémentaire. Nous voulons des infirmières bien rémunérées, au chevet des patient-e-s et non pas sous la paperasse.

Les régions périphériques seront défavorisées. En effet, les soins à domicile coûtent plus chers en Gruyère ou en Singine, par exemple, qu'en Sarine – pour le simple fait que les temps de trajet sont plus longs. Ces coûts supplémentaires seront extrêmement lourds pour les communes concernées et affaibliront les soins à domicile, au détriment des per- sonnes qui en ont besoin.